Voir également, ci-dessous, un extrait de l’autobiographie de Malcolm X sur les mœurs dépravées des élites politiques et financières

Source  : RT, 17 juin 2020

Traduction : lecridespeuples.fr

Les autorités berlinoises ont orchestré un programme d’une extraordinaire perversité pour placer des enfants en famille d’accueil sous la garde de pédophiles notoires, selon un nouveau rapport. Imaginé par un infâme défenseur de la pédérastie et soutenu par des politiciens, il n’a pris fin que récemment.

Le Parti vert de Berlin a appelé mardi à une enquête sur un énorme scandale de maltraitance d’enfants qui a vu des enfants placés sous la garde de pédophiles pendant plus de 30 ans, jusqu’en 2003. Selon un nouveau rapport publié lundi, les autorités éducatives de la ville et le Sénat savaient ce qui se passait, et cette pratique a été « acceptée, soutenue et [défendue] » par les hommes politiques de gauche et les universitaires tout au long des années 70, 80 et 90.

« Il y avait et il y a encore des réseaux », a déclaré mardi la politicienne verte Marianne Burkert-Eulitz au Berliner Zeitung, appelant les partis de gauche du SPD et du FDP à assumer leur responsabilité dans le scandale.

Burkert-Eulitz et ses collègues du parti sont probablement bien au fait de toutes les théories prônant « l’ouverture ». Le prédécesseur du parti, l’Alternative List, était un centre d’échange pour les idéologies lunatiques de libération dans les années 70 et 80. Lors de la convention du parti en 1985, un groupe dissident qui s’appelait « Gays et pédérastes » a exigé la légalisation des relations sexuelles entre adultes et enfants. Les Verts ont passé près d’une décennie à répudier cette tranche sordide de leur histoire, mais selon le rapport de lundi, leur activité n’était que la pointe émergée de l’iceberg.

Maison des horreurs

Fritz H. vivait seul à Berlin-Ouest, et avait déjà été condamné pour pédophilie. Malgré son casier judiciaire, les autorités de protection de la jeunesse de la ville ont placé à plusieurs reprises des enfants sous sa garde. Les premiers sont arrivés au début des années 70, les derniers étant partis en 2003. Les enfants, certains dès l’âge de six ou sept ans, ont subi des horreurs indicibles : au moins neuf enfants ont été violés et maltraités et un garçon handicapé est mort sous la garde de Fritz.

Deux des victimes de Fritz ont poursuivi l’État pour leur traumatisme, mais le Sénat de Berlin, où le SPD gouverne toujours au sein d’une coalition, leur a jusqu’à présent refusé un procès, arguant que le délai de prescription avait expiré pour les abus présumés de Fritz.

Voir Pédocriminalité des élites : Epstein fait-il figure de règle ou d’exception ?

Fritz n’était pas le seul pédophile qui avait, littéralement, reçu pour cadeau un enfant vulnérable par les autorités berlinoises. Le rapport, compilé par des chercheurs de l’Université de Hildesheim après que deux victimes de Fritz se soient initialement manifestée, a découvert qu’au moins trois pédophiles s’étaient vus confier des enfants pour s’en occuper, tandis qu’un réseau de membres de haut rang de l’Institut Max Planck, de l’Université libre de Berlin et de l’école Odenwald de Hesse, où des enfants ont été victimes de violences sexuelles pendant des décennies, supervisait le programme.

Le projet a été décrit par les chercheurs comme un « réseau entre établissements d’enseignement » et un cercle avec des tentacules au-delà de Berlin. Le nombre exact de victimes est encore inconnu, et de nombreux dossiers relatifs au réseau restent classés par les autorités de la ville et de l’État, mais les chercheurs affirment que les services sociaux ont permis aux pédophiles de chasser en toute impunité « dans toute l’Allemagne ».

Le docteur dépravé

Au cœur du scandale se trouve Helmut Kentler, un psychologue dont le Centre pédagogique de Berlin a été chargé de placer les enfants en institution. L’institution de Kentler a été soutenue à la fin des années 1960 par le maire Willy Brandt, et rendait compte au sénateur de l’école et de l’éducation Carl-Heinz Evers, au sénateur de la jeunesse et des sports Kurt Neubauer et au sénateur du travail et des affaires sociales Kurt Exner. Tous sont membres du SPD, et Brandt deviendra plus tard chancelier d’Allemagne, lorsque les premiers enfants arriveront chez Fritz.

https://www.dailymotion.com/video/x7hkkwr

https://vimeo.com/432051438

Dans des lettres adressées au Sénat, Kentler s’est porté garant de Fritz en tant qu’ « expert » en matière de garde d’enfants. Il rendait également régulièrement visite aux enfants confiés à Fritz et à d’autres pédophiles.

Kentler ne peut guère être accusé d’avoir induit en erreur les politiciens qui lui faisaient confiance. Le psychologue était un ardent défenseur de la « pédosexualité », et a passé toute sa carrière professionnelle à plaider pour la normalisation des relations sexuelles avec les enfants. La pédophilie, a-t-il déclaré en 1999, « peut avoir un effet très positif sur le développement de la personnalité d’un garçon ». Dans un livre de 1970 intitulé Education sexuelle, il a soutenu que les parents ont la responsabilité de satisfaire les « besoins sexuels » de leurs enfants.

RT

Les livres d’Helmut Kentler sont toujours en vente sur Amazon.

De plus, Kentler savait que ses pères adoptifs pédophiles auraient probablement « des relations sexuelles » avec les enfants qu’il leur avait envoyés, le déclarant explicitement dans un rapport au Sénat. Il a en outre défendu cette horreur lors d’une audience tenue par le parti libéral FDP en 1981, affirmant que les pères supportaient ces « garçons idiots » parce qu’ils « sont tombés amoureux d’eux ». Sa déclaration n’a pas été remise en question par les libéraux.

La « révolution sexuelle » des années 60 a vu des universitaires du monde occidental défier les normes sociales de l’époque. Cependant, l’ère de l’amour libre et de la libération des femmes a également donné naissance à des idées vraiment dégénérées, comme celle de Kentler. Les hommes politiques qui soutenaient Kentler et son institution auraient pu à tout moment appuyer sur les freins. Au lieu de cela, comme le rapport de l’Université d’Hildesheim le décrit dans des détails horribles, ils ont aidé, encouragé et défendu ses pires excès.

Kentler et Fritz, ainsi que les politiciens qui les ont soutenus, sont maintenant morts. Des dossiers détaillant l’étendue totale des abus, s’élevant à des milliers selon Burkert-Eulitz, sont toujours sous clé dans les archives de l’administration de l’éducation de Berlin. Le législateur vert a exigé mardi qu’ils soient déclassifiés et que le scandale des abus soit rendu public dans toute sa dépravation.

« Nos vies ont été ruinées », a déclaré cette semaine à DW une survivante de la violence de Fritz, âgée de 40 ans. « On ne peut jamais vraiment s’en remettre », a ajouté un autre.

Kentler, quant à lui, était impénitent. Dans un rapport au département de la famille et de la jeunesse du Sénat en 1988, il a décrit l’expérience perverse comme « un succès complet ».

***

Malcolm X sur les mœurs dépravées des élites politiques et financières

Extrait de l’indispensable Autobiographie de Malcolm X sur sa brève expérience de proxénète durant ses années criminelles

Traduction : lecridespeuples.fr

« La tenancière d’une maison close de Harlem, que j’ai connue après avoir rendu service à une de ses amies, m’a fait découvrir une facette spéciale du monde nocturne de Harlem, quelque chose que l’émeute [de 1943] avait seulement interrompu. C’était le monde où, derrière des portes verrouillées, les Noirs (Negroes) satisfaisaient les goûts sexuels étranges des riches Blancs.

Les Blancs que j’avais connus aimaient côtoyer publiquement les « Noirs » dans les clubs et speakeasies nocturnes. C’étaient en revanche des Blancs qui ne voulaient pas qu’on sache qu’ils s’étaient rendus où que ce soit près de Harlem. L’émeute avait rendu nerveux ces clients blancs exclusifs. Le fait qu’ils se faufilent subrepticement dans et autour d’Harlem n’avait pas été aussi perceptible lorsque d’autres Blancs s’y trouvaient également. Mais maintenant, leur présence serait flagrante ; ils craignaient également la colère récemment suscitée des Noirs de Harlem. La tenancière sauvegardait donc son exploitation en pleine croissance en me proposant un poste de maquereau.

Pendant la (deuxième) guerre (mondiale), il était extrêmement difficile d’obtenir un numéro de téléphone [de prostitué(e)]. Un jour, la tenancière m’a dit de rester dans mon appartement le lendemain matin. Elle a parlé à quelqu’un. Je ne sais pas qui c’était, mais avant le midi suivant, j’appelai la tenancière de mon propre téléphone, qui ne figurait pas dans l’annuaire.

Cette tenancière était une spécialiste dans son domaine. Si ses propres filles ne pouvaient pas, ou ne voulaient pas satisfaire les besoins d’un client, elle m’envoyait à un autre endroit, généralement un appartement ailleurs à Harlem, où la « spécialité » demandée était effectuée.

Mon poste pour récupérer les clients était juste devant l’hôtel Astor, ce coin toujours animé du nord-ouest, à l’angle de la 45e rue et de Broadway. En observant le trafic, j’ai bientôt pu repérer le taxi, la voiture ou la limousine —avant même qu’il ne ralentisse—  avec les visages blancs anxieux recherchant attentivement le grand Noir au teint brun rougeâtre vêtu d’un costume sombre ou d’un imperméable avec une fleur blanche à la boutonnière.

S’ils étaient dans une voiture privée, à moins qu’elle ne soit avec chauffeur, je prenais le volant et conduisais le client au point de rendez-vous. Mais s’ils étaient dans un taxi, je disais toujours au chauffeur de taxi : « Le Cinéma Apollo à Harlem, s’il vous plaît », car parmi les taxis de New York, un certain pourcentage est conduit par des policiers. Nous prenions ensuite un autre taxi —conduit par un Noir— et je lui donnais la bonne adresse.

Dès que cette sauterie était réglée, je téléphonais à la tenancière. Elle me faisait généralement retourner en quatrième vitesse au centre-ville pour que je me repositionne sur l’intersection de la 45e rue et de Broadway à une heure précise. La ponctualité des rendez-vous était stricte ; il était rare que j’atteigne les cinq minutes d’attente. Et je savais comment rester en mouvement pour ne pas attirer l’attention des hommes en civil de la brigade des mœurs ou des policiers en uniforme.

Avec les pourboires, qui étaient souvent conséquents, je gagnais parfois plus de cent dollars par nuit [équivalant à près de 2 000 euros aujourd’hui] en conduisant jusqu’à dix clients à une fête où ils pourraient voir, faire ou subir tout ce qu’ils voulaient. Je ne connaissais presque jamais l’identité de mes  clients, mais les quelques-uns que je reconnaissais, ou dont j’ai entendu les noms, me rappellent maintenant le scandale Profumo en Angleterre. Les Anglais ne sont pas loin devant les riches et influents Américains en matière de recherche de raretés et bizarreries [sexuelles].

Des hommes riches, d’âge moyen et au-delà, des hommes bien au-delà de la fleur de l’âge : ce n’étaient pas des étudiants de l’Ivy League, mais leurs pères. Et même leurs grands-pères, je suppose. Des dirigeants de grandes entreprises. Des politiciens de renom. Des hommes d’affaires. Des amis importants de l’extérieur de la ville. De gros pontes des autorités municipales. Toutes sortes de professionnels. Des artistes vedettes. Des célébrités du cinéma et d’Hollywood. Et, bien sûr, des racketteurs.

Harlem était leur antre de péché, leur lieu de débauche. Ils s’esquivaient auprès des Noirs tabous [les relations interraciales étaient punies par la loi] et retiraient leurs masques aseptisés, importants et dignes qu’ils portaient dans leur monde blanc. C’étaient des hommes qui pouvaient se permettre de dépenser de grosses sommes d’argent pendant deux, trois ou quatre heures pour satisfaire leurs étranges appétits.

Mais dans cet infernal monde noir et blanc, personne ne jugeait les clients. Tout ce qu’ils pouvaient nommer, tout ce qu’ils pouvaient imaginer, tout ce qu’ils pouvaient décrire, ils pouvaient le faire ou se le faire faire, tant qu’ils payaient.

Dans l’affaire Profumo en Angleterre, l’amie de Christine Keeler a déclaré que certains de ses clients voulait être fouettés. Un de mes principaux trajets vers une adresse de spécialité loin de la maison close de ma tenancière était l’appartement d’une grande fille noire comme le charbon, forte comme un bœuf, avec des muscles de docker. Chose drôle, c’était généralement les plus vieux de ces hommes blancs —dans la soixantaine, je le sais, et même certains dans les soixante-dix ans— qui ne semblaient pas se remettre assez rapidement de leur dernière séance de coups de fouet pour pouvoir venir me retrouver à l’angle de la 45e et de Broadway et être reconduits à cet appartement, où ils pourraient se mettre à genoux et implorer et crier grâce face au fouet de cette fille noire. Certains me payaient un supplément pour venir les regarder se faire fouetter. Cette fille graissait totalement son grand corps amazonien pour le faire paraître plus brillant et plus noir. Elle utilisait de petits fouets tressés, elle frappait jusqu’au sang, et elle se faisait une petite fortune sur le dos de ces vieillards blancs.

Je ne dirai pas tout ce que j’ai vu. Je me demanderais plus tard, quand j’étais en prison, ce qu’un psychiatre ferait de tout cela. Et tant de ces hommes occupaient des postes à responsabilité ; ils exerçaient des conseils, de l’influence et de l’autorité sur les autres.

En prison, plus tard, je penserais aussi à autre chose. Presque tous ces Blancs exprimaient spécifiquement leur préférence pour le noir, le noir, « le plus noir sera le mieux ! » La tenancière, qui avait appris cela depuis longtemps, n’avait chez elle que les femmes accommodantes les plus noires qu’elle puisse trouver.

De tout mon temps à Harlem, je n’ai jamais vu une prostituée blanche touchée par un homme blanc. Il y avait des filles blanches dans certains des différents endroits de spécialité de Harlem. Elles participaient aux spectacles les plus souvent demandés : un homme noir luisant ayant des relations sexuelles avec une femme blanche. S’agissait-il pour l’homme d’assister à sa peur sexuelle la plus profonde ? Quelquefois, j’ai même assisté à des fêtes auxquelles participaient les femmes blanches que les hommes avaient amenées avec eux pour regarder ça. Je n’ai jamais conduit de femmes blanches, sauf dans ces cas, lorsqu’elles étaient amenées par leurs propres maris ou mises en contact avec moi par une lesbienne blanche que je connaissais, et qui était une autre variété des spécialités de la tenancière.

Cette lesbienne, une belle femme blanche, avait une écurie de partenaires noirs. Son vocabulaire n’était qu’obscénités. Elle fournissait des hommes noirs, sur commande, à des femmes blanches aisées.

J’avais vu cette lesbienne et sa petite amie blonde autour de Harlem, boire et parler dans les bars, toujours avec de jeunes Noirs. A moins de le savoir, personne n’aurait pu deviner que la lesbienne était en train de recruter. Mais un soir, je lui ai donné, ainsi qu’à sa petite amie, des joints de marijuana qui, selon elles, étaient les meilleurs qu’elles aient jamais fumé. Elles vivaient dans un hôtel du centre-ville, et après cela, de temps en temps, elles m’appelaient et je leur apportais des joints, et nous discutions.

Elle m’a raconté comment elle s’était accidentellement lancée dans sa spécialité. En tant qu’habituée de Harlem, elle avait connu des Noirs de Harlem qui aimaient les femmes blanches. Son rôle s’est développé à partir d’un modèle de conversation qu’elle a souvent entendu chez des femmes blanches aisées & qui s’ennuyaient dans leur couple, clientes du salon de beauté de l’East Side où elle travaillait. En entendant les femmes se plaindre de leurs compagnons sexuellement inadéquats, elle rapportait ce qu’elle avait « entendu » dire des hommes noirs. Constatant à quel point certaines femmes semblaient excitées, elle a finalement arrangé des rendez-vous dans son propre appartement avec certains des Noirs de Harlem qu’elle connaissait.

Finalement, elle a loué trois appartements dans le centre-ville où une cliente pouvait rencontrer un Noir sur rendez-vous. Ses clientes ont recommandé son service à leurs amies. Elle a quitté le salon de beauté, mis en place un service de messagerie comme couverture, et a dirigé toutes ses affaires par téléphone.

Elle avait également remarqué la préférence de couleur. Je ne pourrais jamais être un remplaçant en cas d’urgence, me disait-elle en riant, parce que j’avais la peau trop peu foncée. Elle m’a dit que presque toutes les femmes blanches de sa clientèle spécifiaient « un noir » ; parfois, elles disaient « un vrai », ce qui signifie noir, pas un noir brun ou roux.

La lesbienne a imaginé son service de messagerie parce qu’une partie de ses clients voulaient que les Noirs viennent chez elles, des rendez-vous parfois soigneusement arrangés par téléphone. Ces femmes vivaient dans des quartiers huppés d’appartements en grès bruns, avec des portiers habillés comme des amiraux. Mais la société blanche ne songe jamais à se méfier d’un Noir dans un rôle de serviteur. Les portiers téléphonaient aux clientes, qui leur disaient « Oh, oui, envoyez-le tout de suite, James » ; les ascenseurs de service transportaient rapidement ces messagers noirs bien habillés pour qu’ils puissent « livrer » ce qui avait été commandé par certaines des femmes blanches les plus privilégiées de Manhattan.

L’ironie est que ces femmes blanches n’avaient pas plus de respect pour ces Noirs que les hommes blancs n’en avaient pour les femmes noires qu’ils « utilisent » depuis l’esclavage. Et, à leur tour, les Noirs n’ont aucun respect pour les blanches avec lesquels ils couchent. Je sais ce que je ressentais pour Sophia (amante blanche de Malcolm X), qui venait toujours à New York chaque fois que je l’appelais.

Le petit ami antillais de Christine Keeler, (la mannequin et call-girl) du scandale Profumo (John Profumo était le ministre de la Défense britannique, et Christine Keeler avait également des relations avec l’attaché militaire de l’ambassade soviétique), Lucky Gordon (joueur de jazz noir, amant de Christine Keeler) et ses amis, doivent avoir ressenti la même chose. Après que les dirigeants de l’Angleterre aient passé du bon temps avec ces filles blanches, ces filles, pour leur plaisir, allaient chez des Noirs pour fumer des joints et se moquer des plus grands pairs de l’Angleterre en les traitant de cocus et d’imbéciles. Je ne doute pas que Lucky Gordon connaisse l’identité de « l’homme au masque » (serveur nu durant des orgies, qui aurait été ministre membre de la famille royale) et bien plus encore. Si Gordon révélait tout ce que ces filles blanches lui ont dit, il ferait éclater un nouveau scandale en Angleterre.

Ce n’est pas différent de ce qui se passe dans certains des cercles blancs les plus huppés d’Amérique. Il y a vingt ans, je les ai vus tous les soirs, de mes propres yeux, je les ai entendus de mes propres oreilles.

L’homme blanc hypocrite parlera de « l’immoralité » du Noir. Mais qui a la moralité la plus dépravée, sinon les Blancs ? Et même les Blancs « de la classe supérieure » ! Récemment, des détails ont été publiés sur un groupe de femmes au foyer et de mères blanches de la banlieue huppée de New York qui constituaient un cercle de call-girls professionnelles. Dans certains cas, ces femmes se prostituaient avec l’accord, et même la coopération de leurs maris, dont certains les attendaient à la maison, s’occupant des enfants. Et quant aux client, pour citer un grand journal de New York, « 16 grands livres et registres comportant les noms de 200 clients, nombre d’entre eux étant des personnalités sociales, financières et politiques importantes, ont été saisis lors du raid vendredi soir. »

J’ai aussi lu récemment que des groupes de jeunes couples blancs se réunissent, les maris jettent leurs clés de maison dans un chapeau, puis, les yeux bandés, les maris sortent une clé et passent la nuit avec la femme à qui la clé de la maison correspond. Je n’ai jamais entendu parler d’une telle chose faite par des noirs, même des noirs qui vivent dans les pires ghettos, les pires ruelles et les pires égouts. »

Voir notre dossier sur l’affaire Epstein

Pour ne manquer aucune publication et soutenir ce travail censuré en permanence, partagez cet article et abonnez-vous à la Newsletter. Vous pouvez aussi nous suivre sur Facebook et Twitter.